
Le Manche a écrit:La mort sort de l'âne, en afghanistan, avec la bombe sur l'âne...
idi amindada ressurection a écrit:le son du noir maze mérite une danse africaine // parce que il sait faire l'argent comme un ougandais trempant dans les affaires de gros billets de patron négre
keyon martin a écrit:la cocaine s'entasse dans chaque sinus et anus
EtienneDaho a écrit:Le genre de mise en marché afgh-âne putain de merde je suis sur le haut avec ce genre de fonctionnement arabe![]()
Ils ne rêvent qu à ca dans l émission où c´qu y a beaucoup d´crime que c´est l´île de l´attentat´tion
Carriacou, îles Grenadines – Les scientifiques ont maintenant la preuve que les hommes préhistoriques utilisaient des mélanges d’herbes pour se droguer.
Quetta Kaye, de l’université de Londres, et Scott Fitzpatrick, de l’université d’Etat de Caroline du Nord, ont découvert sur l’île de Carriacou, dans les Caraïbes, du matériel destiné à préparer des drogues hallucinogènes à inhaler. Ces découvertes seraient liées à des tribus préhistoriques d’Amérique du Sud. Les bols en céramique et les tubes pour inhaler la fumée et/ou la poudre auraient parcouru plus de 600 kilomètres pour atteindre ces îles.
La datation de ces bols apporte un éclairage nouveau sur l'âge de la relation existant entre les hommes et la drogue. Les scientifiques pensent que la drogue utilisée était le cohoba, poudre fabriquée à partir des graines de l’arbre yopo.
Les archéologues suggèrent que les humains extrayaient de la drogue de graines et de cactus il y a déjà plus de 5000 ans, mais n’en ont pas encore la preuve concrète. Ils considèrent que ces drogues servaient à générer des états de transe lors de cérémonies religieuses.
xxantoinexx a écrit:Le genre de nouvelle préhistorique futuristique
Carriacou, îles Grenadines – Les scientifiques ont maintenant la preuve que les hommes préhistoriques utilisaient des mélanges d’herbes pour se droguer.
Quetta Kaye, de l’université de Londres, et Scott Fitzpatrick, de l’université d’Etat de Caroline du Nord, ont découvert sur l’île de Carriacou, dans les Caraïbes, du matériel destiné à préparer des drogues hallucinogènes à inhaler. Ces découvertes seraient liées à des tribus préhistoriques d’Amérique du Sud. Les bols en céramique et les tubes pour inhaler la fumée et/ou la poudre auraient parcouru plus de 600 kilomètres pour atteindre ces îles.
La datation de ces bols apporte un éclairage nouveau sur l'âge de la relation existant entre les hommes et la drogue. Les scientifiques pensent que la drogue utilisée était le cohoba, poudre fabriquée à partir des graines de l’arbre yopo.
Les archéologues suggèrent que les humains extrayaient de la drogue de graines et de cactus il y a déjà plus de 5000 ans, mais n’en ont pas encore la preuve concrète. Ils considèrent que ces drogues servaient à générer des états de transe lors de cérémonies religieuses.
Un ptit peu de pouuuuuuuuuudre![]()
xxantoinexx a écrit:Le genre de nouvelle préhistorique futuristique
Carriacou, îles Grenadines – Les scientifiques ont maintenant la preuve que les hommes préhistoriques utilisaient des mélanges d’herbes pour se droguer.
Quetta Kaye, de l’université de Londres, et Scott Fitzpatrick, de l’université d’Etat de Caroline du Nord, ont découvert sur l’île de Carriacou, dans les Caraïbes, du matériel destiné à préparer des drogues hallucinogènes à inhaler. Ces découvertes seraient liées à des tribus préhistoriques d’Amérique du Sud. Les bols en céramique et les tubes pour inhaler la fumée et/ou la poudre auraient parcouru plus de 600 kilomètres pour atteindre ces îles.
La datation de ces bols apporte un éclairage nouveau sur l'âge de la relation existant entre les hommes et la drogue. Les scientifiques pensent que la drogue utilisée était le cohoba, poudre fabriquée à partir des graines de l’arbre yopo.
Les archéologues suggèrent que les humains extrayaient de la drogue de graines et de cactus il y a déjà plus de 5000 ans, mais n’en ont pas encore la preuve concrète. Ils considèrent que ces drogues servaient à générer des états de transe lors de cérémonies religieuses.
Un ptit peu de pouuuuuuuuuudre![]()
Alors qu’elle retirait de l’argent à un distributeur, un homme (noir selon sa déposition) a menacé Ashley Todd avec un couteau pour lui dérober 60 dollars ; puis, apercevant un autocollant pro-McCain sur sa voiture, son agresseur lui a dit qu’elle “allait devenir pro-Obama”, l’a battue avant de lui écrire la lettre “B” au couteau sur le visage.
Voilà l’histoire que cette jeune militante républicaine a racontée à la police de Pittsburgh. Popularisée notamment par le Drudge report, l’un des grands sites de référence conservateurs, elle a provoqué une avalanche d’articles, de posts de blogs et de commentaires sur ce supposé “hate crime”.
Mais voilà : de nombreuses personnes, dont des blogueurs républicains parmi les plus connus, ont rapidement mis en doute plusieurs éléments du récit de la jeune femme. Entre autres incohérences, le fait que le “B” soit à l’envers, qui pourrait s’expliquer aisément si la jeune femme n’avait pas donné une description de l’agression contradictoire. De nombreux blogs ont également relevé que le flux Twitter de la jeune femme, semblait avoir été mis à jour deux fois juste avant l’agression, à des horaires qui ne cadrent pas avec son témoignage.
Selon des sources policières, la supportrice de McCain, Ashley Todd, avoue avoir inventé cette histoire d'agression. Elle n’a pas été volée ou agressé devant un guichet automatique à Pittsburgh.
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