La fermeture de Megaupload, qui revendiquait dans une vidéo utiliser 4% de la bande passante - les débits d'informations - du web mondial, a permis d'alléger 10% du trafic chez un des principaux fournisseurs d'accès français.
En matière d'offres légales, Manuel Alduy, directeur du cinéma au sein du groupe Canal+, a annoncé une hausse de 20% en une semaine de la vidéo à la demande (VOD), payante, de CanalPlay. Les services de catch-up TV de M6 et W9, gratuits, ont quant à eux bénéficié d'un «trafic très important» depuis la fermeture de Megaupload. Nicolas de Tavernost, PDG du groupe M6, précise en effet que l'audience de W9Replay a été «multipliée par quatre».
Le Peer to peer (P2P), passé aux oubliettes pour la plupart des téléchargeurs depuis la mise en place d'Hadopi, fait son grand retour. Quasiment disparu de l'usage des internautes au début de l'année 2012, le P2P a vu son trafic soudainement augmenter dès la fermeture de Megaupload, atteignant jusqu'à 13% de l'ensemble des données transitant sur Internet il y a quelques jours.
Un photographe professionnel, membre de la Société des Auteurs de l'Image Fixe , accuse la Haute Autorité d'enfreindre les règles du droit d'auteur dans sa manière d'illustrer ses supports de communication. Il reproche par ailleurs à l'Hadopi d'utiliser et de promouvoir des stocks d'images étrangers à bas coût, ce qui est le sujet de tensions très vives entre l'institution et les photographes dont elle doit protéger les droits.
Une dizaine d'internautes auraient refusé d'obtempérer et auraient vu leur dossier transmis au Parquet.
L'Hadopi annonce qu'elle enverra ses premiers dossiers aux tribunaux avant le printemps, pour
faire sanctionner les abonnés jugés coupables de "négligence caractérisée". Ce qu'elle peut difficilement
faire sans avoir amené l'abonné à livrer lui-même les éléments de sa culpabilité. Pour éviter l'ordonnance pénale et obtenir un vrai procès en bonne et due forme qui pourrait faire s'écrouler l'édifice en cas de relaxe, un seul remède : le silence.
Le fondateur du site internet Megaupload.com, inculpé pour escroqueries et violations des droits d'auteurs et dont les Etats-Unis demandent l'extradition, a été libéré sous caution mercredi par la justice néo-zélandaise, a-t-on appris de source judiciaire.
chyco a écrit:
edden a écrit:chyco a écrit:
Malheureusement c'est que de la branlette de blanc sur l'internet
Même si dans l'idée je trouve que Anonymous c'est l'délire, ça ira jamais plus loin que du DDOS de site web et de l'émulation de goûter déguisé.
Cette merde est bien trop désorganisée, alors certes impossible de couper la tête car il n'y en a pas, mais aussi impossible de mettre en place une merde chaude
accidenteurdebentley a écrit:Ça serait beaucoup trop simple de faire péter la société derrière son homo-pc
On est pas dans Fantôme dans la Coquille, le Marionnettiste n'existe pas
La société n'explose qu'avec le sang
Faut poser ses couilles sur la table pour vrai !
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