Ok, ok, alors ok.
Je vais survoler le truc mais en gros ça donne ça :
- l'influence de l'environnement : urbanisation....
- l'anomie ("La discordance entre l'aspiration de l'individu et les moyens à sa disposition pour y parvenir favorise d'acte délinquant" Durkheim).
- la théorie de l'Association différentielle (Sutherland et Gressey) : absence de repère et environnement criminel.
- le labelling ou étiquettage : la société te donne un rôle, tu le joues.
- la criminologie radicale de Foucault.
- Lagache : c'est un trouble de la socialisation et de l'identification.
- l'influence de l'éducation
- la présence plus ou moins forte des parents
- la démission des institutions, qui n’assurent plus leur rôle de prévention ou de répression
de la délinquance
- la perte des valeurs. Les entretiens qualitatifs ont révélé un sentiment relativement fort
de remise en question des fondements moraux de la vie sociale: individualisme tendant Ã
l’égoïsme, déclin du sentiment religieux, incapacité des générations récentes à aspirer à des
idéaux non matérialistes, etc.
- la perte des communautés d’antan. Plusieurs personnes ont mentionné l’anonymat de la
vie moderne et la perte ou l’affaiblissement substantiel des «appartenances» sociales, qui
intégraient les individus dans des groupes à la fois contraignants et protecteurs. C’est donc Ã
l’image de la Gemeinschaft perdue que l’on fait référence ici.
- l’influence délétère des médias. Les médias sont souvent mentionnés, soit qu’ils incitent
les individus à la violence par un effet de mimétisme, soit qu’ils les poussent au crime par le
monde brillant mais inaccessible qu’ils leur proposent en exemple.
- les troubles du comportement ou de la personnalité. S’il y a du crime c’est, dans cette
optique, parce qu’il y a des personnalités déviantes. Cette déviance peut être de deux natures.
Dans le premier cas, il s’agirait d’individus qui maximisent leur profit par le crime: ils
choisissent l’acte délictueux parce qu’il est le moyen le plus simple d’obtenir quelque chose.
Et 2 petits schémas pour vos yeux :


Y a pas tout, mais ça donne un aperçu du truc quoi.
