On est là cousin
El keuss (la vulve) - Ce mot définit en particulier la vulve d'une jeune femme.
Une telle vulve est très dodue et ronde dans chacune de ses directions,
avec de longues lèvres, une grande fente, les bords jaillissants sont divisés
et arrondis avec symétrie; elle est douce, seductive, parfaite de partout.
C'est la plus plaisante et sans aucun doute la meilleure de toutes les formes de vulves.
Que Dieu m'accorde "la possession d'une telle vulve! Amen."
Elle est chaude, serrée, et sèche; tellement qu'on pourrait espérer voir le feu en sortir.
Sa forme est gracieuse, son odeur plaisante; la blancheur de son extérieur
fait ressortir la couleur rouge-carmine de son épicentre.
Il n'y a aucune imperfection à son sujet.
El Kehmoune (la voluptueuse) - C'est le nom donné à la vulve d'un jeune vierge.
El ass (la primitive) - C'est un nom applicable à tout genre de vulve.
El zerzour (l'éperonne) - La vulve d'une fille très jeune, ou, comme certains le prétendent,
d'une brunette.
El Cheukk (la crevasse) - La vulve d'une femme osseuse et maigre.
Elle est comme une fissure dans un mur, sans un vestige de chair.
"Que Dieu me garde d'une telle vulve!"
Abou Tertour (celle avec une crinière) - c'est le nom donné à une vulve
décorée d'un peigne rouge, comme celui d'un robinet, qui s'élève au moment du plaisir.
Abou Khochime (celle avec un petit nez) - C'est une vulve avec des lèvres minces
et une petite langue.
El Gueunfond (la hérisonne) - La vulve d'une femme vieille et décrépie,
asséchée par l'âge et avec la grêle hérissée.
El sakouti (la silencieuse) - Ce nom a été donné à une vulve silencieuse.
Le membre peut la pénétrer cent fois par jour sans qu'elle ne murmure un seul mot,
et sera contente de regarder sans murmurer.
El Deukkak (la broyeuse) - Ainsi appelée pour ses mouvements concasseurs sur le membre.
Elle commence généralement par pousser le membre, il pénètre directement,
vers la droite puis vers la gauche, elle le saisit avec la matrice, et,
s'il elle le pouvait, elle absorberait également les deux testicules.
El tseguil (l'importune) - C'est la vulve qui n'est jamais fatiguée de saisir le membre.
Ce dernier peut y pénétrer cent nuits de suite, et s'y promener cent fois chaque nuit,
que cette vulve ne serait pas assouvie pour autant, elle en voudrait encore plus,
et ne permettrait pas au membre de se retirer, si cela était possible.
Avec une telle vulve les combattants sont permutés; la vulve est la poursuivante,
le membre est le poursuivi. Heureusement cela est rare, et ne se retrouve que chez
un nombre restreint de femmes, qui sont sauvages avec passion, toute de feu, et enflammées.
El taleb (l'ardente) - Ce vagin n'est rencontré que chez quelques femmes.
Avec certaines c'est normal; avec d'autres il est comme ce qu'il advient d'un vagin
lors d'une longue abstinence. Il brûle d'avoir un membre, et, en ayant un par embrassement,
il refuse de le laisser sortir jusqu'à ce que le feu s'éteigne complètement.
El hacene (la belle) - C'est la vulve qui est blanche, dodue, a la forme d'un dôme,
ferme, et sans aucun défaut de forme. Vous ne pouvez détacher vos yeux de cette vulve,
et à la regarder elle change une faible érection en un érection éclatante.
El Neuffakh (celle qui transpire) - Appelée ainsi parce que lorsqu'un membre-torpide
s'en approche, et qu'il se frotte la tête contre elle plusieurs fois, il se gonfle
et se tient droit aussitôt. Une femme qui possède une telle vulve obtient un plaisir excessif,
de sorte qu'au moment de la crise, elle s'ouvre et se referme convulsivement,
comme la vulve d'une jument.
Abou djebaha (celle qui se projette) - Quelques femmes ont cette sorte de vulve,
elle est très grande, avec un pubis proéminent comme une projection, et un front tout en chair.
El Ouasâ (la vaste) - Une vulve entourée d'un très grand pubis. On dit de cette femme
qu'elle a un vagin large, parce que, à l'approche du membre elle parait correcte
et impénétrable à un degré tel que même une noix ne semblerait pouvoir y passer,
aussitôt qu'elle sent la friction des testicules contre son ventre, elle s'ouvre aussitôt.
El aride (la grande) - Cette vulve est aussi large que longue; c'est-à-dire,
entièrement développée tout autour, d'un côté à l'autre, et à partir du pubis
jusqu'au perineum. C'est la plus belle vulve à admirer.
Abou Belâoum (la glouttonne) - C'est la vulve qui a une vaste capacité pour l'ingestion.
Si une telle vulve n'a pas pu obtenir de copulation pendant un certain temps,
elle engloutira complètement le membre qui l'approchera, sans en laisser quelque trace
à l'extérieur, comme un homme affamé qui se jette sur les viandes qui lui sont offertes,
et qui les avalerait sans mastication.
El mokâour (la sans fond) - C'est le vagin d'une longueur indéfinie, ayant,
en conséquence, la matrice enfouie très profondément.
Il exige un membre d'une très grande dimension; tout autre membre ne saurait
réussir à faire surgir ses sensibilités amoureuses.
Abou cheufrine (celle à deux nez) - Ce nom est donné au vagin amplement développé
d'une femme excessivement vaillante. Aussi au vagin dont les lèvres sont
devenues flasques, dû à la faiblesse, il est long et pendant.
Abou âungra (la bossue) - Cette vulve a un mont de Venus proéminent et dur,
qui se montre comme la bosse sur le dos du chameau, et qui s'étend jusqu'aux cuisses
comme la tête d'un veau. "Que Dieu nous laisse jouir d'une telle vulve! Amen!"
EL rorbal (la passoire) - Cette vulve lorsqu'elle accueille un membre semble
le tamiser tout autour, en-dessous, à gauche et à droite, longitudinalement,
jusqu'à ce que le moment du plaisir arrive.
El hezzaz (l'agitée) - Quand ce vagin a acceuilli le membre, il commence à se
déplacer violemment et sans interruption jusqu'à ce que le membre touche la matrice,
et puis ne connait aucun repos jusqu'à ce qu'il ait hâté le plaisir jusqu'à épuisement.
El Lezzaz (le syndicaliste) - Le vagin qui, ayant pris le membre, s'y accroche
et le pousse si étroitement que, si la chose était possible, il goberait aussi
les deux testicules.
El moudd (l'accomodante) - Ce nom s'applique au vagin d'une femme qui a souhaité
pendant longtemps copuler. Lors du rapt, il se plait à seconder les mouvements
de va-et-vient du membre viril; il offre sa matrice au membre en le pressant
vers l'avant, ce qui est, après tout, le meilleur cadeau qu'elle peut offrir.
Quelque soit l'endroit que le membre veuille explorer à l'intérieur de la vulve,
elle l'accueillera, avec élégance comme il le souhaite; avec son aide,
il n'y a aucun recoin du vagin qu'elle n'aidera le membre à atteindre.
El mouâà (l'assistante) - Cette vulve est ainsi appelée parce qu'elle aide
le membre à s'introduire et à sortir, pour entrer de haut en bas, en bref,
dans tous ses mouvements, de telle manière que s'il désire faire une chose, entrer
ou se retirer, s'y déplacer librement, etc., la vulve s'empresse de lui fournir
toutes les facilités, et à répondre à son appel. Par cette aide l'éjaculation
est facilitée, et le plaisir intensifié.
El Meusboul (la longue) - Ce nom ne s'applique qu'à quelques vulves; chacun sait
que les vulves sont loin d'avoir toutes la même conformité et le même aspect.
Cette vulve s'étend du pubis à l'anus. Elle s'étire quand la femme se couche
ou se tient debout, et elle se contracte quand elle s'assied, contrairement
à la vulve de forme circulaire. Elle ressemble à un splendide concombre placé entre
les cuisses. Chez certaines femmes il montre sa projection sous un vêtement léger,
ou quand elles se penchent en arrière.
El molki (la duelliste) - C'est la vulve qui, par l'introduction du membre, exécute
le mouvement de va-et-vient, se pousse sur lui dans la crainte qu'il se retire
avant que le plaisir n'arrive. Il n'y a aucun plaisir pour elle rien que le choc
du membre donné à la matrice, et c'est pour cela qu'il projette sa matrice pour
empoigner et sucer le gland du membre lorsque l'éjaculation a lieu. Certaines vulves,
sauvages et remplies de désir et de convoitise, que ce soit naturel ou la conséquence
d'une longue abstention, se jettent sur le membre qui s'approche, ouvrant la bouche
comme un bébé à qui la mère offre le sein. De la même manière cette vulve s'avance
et se retire du membre pour l'approcher face à face avec la matrice, comme si
elle craignait que, sans aide, elle ne pourrait pas se laisser engouffrer.
La vulve et le membre ressemblent ainsi à deux duellistes habiles, chaque fois que
l'un d'eux se précipite sur son antagoniste, l'autre oppose son bouclier pour parer
le coup et repousser l'assaut. Le membre représente l'épée, et la matrice le bouclier.
Le premier qui éjaculate le sperme est vaincu; tandis que celui qui est le plus lent
est le vainqueur; et, assurément, c'est un combat gracieux!
"Je voudrais ainsi combattre sans m'arrêter jusqu'au jour de ma mort."
El Harrab (la fugitive) - Le vagin qui, étant très serré et court, est blessé
par la pénétration d'un membre très grand et mou; il essaie de s'échapper
vers la droite et la gauche. Les gens disent, qu'il est comme le vagin de la plupart
des vierges, qui, n'ayant pas encore fait la connaissance d'un membre et craintives
à son approche, essaient de s'enlever de son chemin lorsqu'il se glisse entre les
cuisses et veut être admis.
El sabeur (la résignée) - C'est la vulve qui, ayant admis le membre,
se soumet patiemment à tous ses caprices, et à tous ses mouvements.
On dit également que cette vulve est assez forte pour souffrir avec résignation
la copulation la plus violente et la plus prolongée. Si elle était assaillie
cent fois elle ne serait pas vexée ou ne serait pas gênée; et au lieu de proférer
des reproches, elle remercierait Dieu. Elle montrerait la même patience
si elle devait se faire visiter par plusieurs membres successivement.
El mouseuffah (la dénudée) - On ne recontre que peu souvent ce genre de vagin.
Le défaut qui le distingue est parfois normal, parfois il est le résultat
d'une opération de circoncision de la femme exécutée de façon maladroite.
Il peut se produire que l'opérateur entreprend une fausse manoeuvre avec
son instrument et blesse ainsi les deux lèvres, ou même seulement l'une d'elles.
Pour corriger ces sortes de blessures en forme de cicatrice épaisse,
qui barre le passage, et afin de rendre le vagin accessible au membre,
une opération chirurgicale à l'aide d'un bistouri est nécessaire.
El Merour (la profonde) - le vagin qui a toujours la bouche ouverte,
et dont le fond est hors de vue. Seuls les plus longs membres peuvent l'atteindre.
El âddad (la mordeuse) - La vulve qui, lorsque le membre l'a pénétrée et brûle de passion,
s'ouvre et se ferme avec la même violence. C'est principalement lors de l'éjaculation
que l'homme sent la morsure de la tête de son membre par la bouche de la matrice.
Et certainement il y a de même une puissance attractive quand elle s'accroche,
aspirant le sperme, jusqu'à la glande, et l'attire en dedans autant qu'elle le peut.
Si Dieu dans sa puissance a décrété que la femme doit devenir enceinte, le sperme
se concentre dans la matrice, où il est graduellement vivifié; mais si, au contraire,
Dieu ne permet pas la conception, la matrice expulse la semence, qui s'échappe alors du vagin.
El meusass (la chirurgienne) - C' est un vagin qui dans sa chaleur amoureuse
suite à des attouchement voluptueux, ou une longue abstinence, commence à sucer
le membre qui le pénètre avec une telle force qu'il le prive de tout son sperme
le traitant comme un enfant s'activant au sein de sa mère.
El zeunbour (la guêpe) - ce genre de vulve est connu pour sa force
et la rugosité de sa fourrure. Quand le membre s'en approche et essaie
d'y entrer il est piqué par les poils comme par une guêpe.
El harr (la chaude) - C'est une des vulves les plus précieuses.
La chaleur est en fait très estimée dans une vulve, et on peut dire que l'intensité
du plaisir accordé par elle est proportionnel à la chaleur qu'elle dégage.
El ladid (la délicieuse) - Elle a la réputation de procurer un plaisir exemplaire,
comparable seulement à celui ressenti par les bêtes et les oiseaux de proie,
et pour lesquels ils engagent des combats sanguinaires. Et si de tels effets
sont produits sur des animaux, que doivent-ils être pour l'homme?
Et c'est ainsi que toutes les guerres jaillissent de la recherche du plaisir
voluptueux que le vagin procure, et qui est la fortune la plus prisée de ce monde;
c'est l'un des plaisirs du paradis attribué à nous par Dieu comme avant-goût
de ce qui nous attend, à savoir, des plaisirs mille fois supérieurs,
et qui ne peuvent être surpassés que par la vue du Dieu bienveillant.
D'autre noms pourraient certainement s'appliquer aux organes sexuels de la femme,
mais ceux mentionnés ci-dessus m'apparaissent à moi suffisants.
Bon ...

... on retrouve pas vraiment ta chatte mais je pense qu'elle doit bien s'approcher d'une certaine catégorie
