
Quand j'y repense putain d'merde, j'me demande si j'suis pas fêlé

Mais laissez moi plutôt vous clarifier

Bon ça s'passait dans un quartier où c'que y'a les nègres, un coin vraiment vraiment pauvre où j'flânais avec un pote qui trottait quelques mètres devant moi.
Jusque là ça s'passe quand soudain deux nègros louches surgissent du coin de la rue et s'en prennent à mon poto.
Le premier sort un gros peupom, du genre à te faire des gros trous et braque mon associé. Il décharge sur lui et ce dernier esquive je ne sais comment avant de détaler sous une pluie de balles

Les 2 braqueurs se tournent alors vers moi et bon c'est comme si que j'remontais dans le temps

Cette fois-ci c'est le second négro qui, dans un même geste, sort le pompeux de sa veste et me tire dessus sans aucun remord.
A mon tour je tape une esquive de ce genre


Les négros sont à nos trousse et on galope comme des lapereaux, les passants sont stupéfait de notre style de course

On se réfugie dans un bâtiment et grimpe les escaliers quatre à quatre jusqu'au dernier étage, un peu dur, le souffle qui manque, tu vois l'genre.
Arrivé en haut on relaxe, cherche une solution à c'merdier, fume notre hydroponique
Quelque secondes plus tard les nègres arrivent, mais en renfort. La porte de l'ascenseur s'ouvre et bon là une dizaine de nègres molosses, des sortes de montagnes russes, nazis dans leur style de intact.

Bon bon...10 contre 2, est-ce que c'est hip hop...bon

J'sais pas c'que foutait mon pote mais bon moi j'sauve mon putain d'cul, tu m'comprends. J'saute sur un nègre et lui fout une calotte sur sa bouche. Il tombe dans les escaliers et j'en profite pour me barrer laissant mon pote bien entouré

J'dévale les marches pour atterrir où ? Directement dans la maison de l'oncle Phil dans ce prince de Bel-Air


La maison reposait aux pieds des escaliers, dans le hall de l'immeuble, comme si que c'était normal

Bon j'entre et connecte avec Will, Carlton, jazz et toute la famille.
J'leur raconte ma situation et tout et ils sont d'accords pour me filer un coup d'main, même Carlton

On remonte les escaliers et là ... stupéfait j'vois mon pote torse nu, dans une sorte de pose à la bruce lee, entouré de les corps de les nègres, dispersés sur le sol

Ce fumier les avait tous pris à lui seul


Après ça c'en était trop; mon esprit en a eu assez

