


LABohème a écrit:sjekiou le sales gars à fist de ce forum de merde
le sales à fist musique
Retenez bien son nom : Erard Corbin de Mangoux. Cet homme dirige depuis 2008 le bastion des services secrets français -la DGSE. A en croire le scoop révélé lundi soir par le quotidien italien Il Floglio , c’est sous sa responsabilité que l’assassin présumé de Toulouse, Mohamed Merah, a pu accéder en septembre 2010 au territoire israélien.
"Ce qui interpelle, quand même, c'est qu'il était connu de la DCRI non pas spécialement parce qu'il était islamiste, mais parce qu'il avait un correspondant au renseignement intérieur", relève de son côté Yves Bonnet, ex-patron de la Direction de la surveillance du territoire (DST) dans La Dépêche du Midi. "Or, ajoute-t-il, avoir un correspondant, ce n'est pas tout à fait innocent."
"En ce qui concerne plus particulièrement l’affaire Merah, nous nous trouvons face à un cas d’école.
Le fonctionnaire le traitant pensait avoir en lui un informateur fiable. Ce n’était pas le cas, Mohamed Merah a su habilement abuser de cette confiance pour mener à bien la mission terroriste à laquelle il était formé depuis plus de deux ans.
Si les négociations en vue de sa reddition ont duré près de 32 heures c’est parce qu’il fallait ce temps pour décider ce qu’il convenait de faire pour éviter un scandale. Le RAID et le GIPN disposaient de moyens suffisants pour mener un assaut non létal contre un individu seul, sans otage, même lourdement armé. Il semblerait que très rapidement il ait été décidé que cet individu ne devrait pas être laissé en état de parler. Les 300 douilles retrouvées sur place et le « tir pour tuer » du tireur d’élite de la section Oméga du RAID ne laisse pas la place au doute."
"D’après des sources des renseignements qui se sont confiées à Il Foglio, la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), l’agence française chargée de l’espionnage et de l’antiterrorisme en dehors des frontières nationales, aurait garanti à Merah – en sa qualité d’informateur – un accès en Israël en septembre 2010 par un point de contrôle à la frontière jordanienne. Le Français y serait resté trois jours en "touriste" avant de retourner en Jordanie puis de prendre la direction de l’Afghanistan. Son entrée en Israël, couverte par les services français, devait prouver la capacité du réseau djihadiste à passer facilement les frontières grâce à un passeport européen.
Ces informations n’ont pas été officiellement confirmées, mais un article paru lundi dans Ha'Aretz, citant des sources du service du renseignement israélien Shin Bet, semble toutefois apporter du crédit à cette thèse.
L’article relaie les propos du gouvernement israélien qui confirme l’entrée sur son territoire de Merah, mais le Shin Bet soutient qu’il n’y a aucune trace de l’arrestation du Français à Jérusalem en possession d’un couteau, comme l’a affirmé Bernard Squarcini, chef de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) dans Le Monde."
Le fonctionnaire le traitant pensait avoir en lui un informateur fiable. Ce n’était pas le cas, Mohamed Merah a su habilement abuser de cette confiance pour mener à bien la mission terroriste à laquelle il était formé depuis plus de deux ans.
Si les négociations en vue de sa reddition ont duré près de 32 heures c’est parce qu’il fallait ce temps pour décider ce qu’il convenait de faire pour éviter un scandale. Le RAID et le GIPN disposaient de moyens suffisants pour mener un assaut non létal contre un individu seul, sans otage, même lourdement armé. Il semblerait que très rapidement il ait été décidé que cet individu ne devrait pas être laissé en état de parler. Les 300 douilles retrouvées sur place et le « tir pour tuer » du tireur d’élite de la section Oméga du RAID ne laisse pas la place au doute.
chyco a écrit:"Ce qui interpelle, quand même, c'est qu'il était connu de la DCRI non pas spécialement parce qu'il était islamiste, mais parce qu'il avait un correspondant au renseignement intérieur", relève de son côté Yves Bonnet, ex-patron de la Direction de la surveillance du territoire (DST) dans La Dépêche du Midi. "Or, ajoute-t-il, avoir un correspondant, ce n'est pas tout à fait innocent.""En ce qui concerne plus particulièrement l’affaire Merah, nous nous trouvons face à un cas d’école.
Le fonctionnaire le traitant pensait avoir en lui un informateur fiable. Ce n’était pas le cas, Mohamed Merah a su habilement abuser de cette confiance pour mener à bien la mission terroriste à laquelle il était formé depuis plus de deux ans.Si les négociations en vue de sa reddition ont duré près de 32 heures c’est parce qu’il fallait ce temps pour décider ce qu’il convenait de faire pour éviter un scandale. Le RAID et le GIPN disposaient de moyens suffisants pour mener un assaut non létal contre un individu seul, sans otage, même lourdement armé. Il semblerait que très rapidement il ait été décidé que cet individu ne devrait pas être laissé en état de parler. Les 300 douilles retrouvées sur place et le « tir pour tuer » du tireur d’élite de la section Oméga du RAID ne laisse pas la place au doute.""D’après des sources des renseignements qui se sont confiées à Il Foglio, la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), l’agence française chargée de l’espionnage et de l’antiterrorisme en dehors des frontières nationales, aurait garanti à Merah – en sa qualité d’informateur – un accès en Israël en septembre 2010 par un point de contrôle à la frontière jordanienne. Le Français y serait resté trois jours en "touriste" avant de retourner en Jordanie puis de prendre la direction de l’Afghanistan. Son entrée en Israël, couverte par les services français, devait prouver la capacité du réseau djihadiste à passer facilement les frontières grâce à un passeport européen.Ces informations n’ont pas été officiellement confirmées, mais un article paru lundi dans Ha'Aretz, citant des sources du service du renseignement israélien Shin Bet, semble toutefois apporter du crédit à cette thèse.
L’article relaie les propos du gouvernement israélien qui confirme l’entrée sur son territoire de Merah, mais le Shin Bet soutient qu’il n’y a aucune trace de l’arrestation du Français à Jérusalem en possession d’un couteau, comme l’a affirmé Bernard Squarcini, chef de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) dans Le Monde."
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