donc ce putain d'fil est t'une porte créée d'avance pour qu'tu peux rendre hommage à les vrais nègres/négresses de légende exclusivement des supernovas rien d'autre on a pas l'temps pour toi Booba même si que oui heu Lunatic han Temps Mort blablabla fockââdéêh
ce n'est pas un jeu
ce n'est pas un jeu
Salutations à Eugène Jacques Bullard
l'Hirondelle noire de la mort
l'Hirondelle noire de la mort
Faut'qu'on s'instruit gratuitement sur ce genre de nègre pour qu'tu fais la même chose
tellement que son vécu de la rue est de haute gamme
guerre, racisme et jazz, des Etats-Unis à Paris tout c'que tu recherches
c'est le temps de donner ce qui est du
c'est le temps pour que Barack Obama paie hommage
allons-y
Eugene Jacques (James) Bullard (9 octobre 1895, Columbus, Géorgie, États-Unis - 12 octobre 1961, New York, États-Unis) est un afro-américain, pilote dans l'armée française durant la Première Guerre mondiale.
Il est avec le Turc Ahmet Ali Celikten, l'un des deux premiers pilotes noirs de l'Histoire et l'un des rares aviateurs noirs ayant combattu pendant la grande Guerre.
L'aviation française a également compté dans ses rang les martiniquains hmm Pierre Réjon, pilote de chasse, Guibert Jean-Marie, Sainte-Luce Calixte (c't'une chabine qui flingue ) et Hébert Rosenard, mitrailleurs-observateurs ou canonniers comme le guadeloupéen Joseph Texier-Lavalade et les guyanais Gaston Bonnefoy et Delor Fossoy.
mes flingueurs de gwada mes mitrailleurs
Son père, William O. Bullard, surnommé Big Chief Ox, est martiniquain hmm né esclave.
( Libérez )
Afin d'échapper aux discriminations raciales (il racontera plus tard avoir été, enfant, témoin d'une tentative de lynchage de son père ), Eugene quitte le foyer familial vers l'âge de huit ans avec l'intention d'aller en France , car son père lui aurait dit qu'« un homme y était jugé par son mérite et non pas par la couleur de sa peau » . Il passe deux années d'errance avec des gens du voyage, avec lesquels il apprend l'équitation.
De 1912 à 1914, au Royaume-Uni, il travaille comme cible vivante dans une foire de Liverpool et prend des cours de boxe. Il combat à Londres et s'engage parallèlement dans la troupe de vaudeville de l'Afro-Américaine Belle Davis. En 1913, il dispute un match à l’Élysée Montmartre.
C'est à l'occasion de ce voyage à Paris qu'il décide d'y vivre.
Le 19 octobre 1914, en se vieillissant d'un an (déclarant qu'il était né en 1894 au lieu de 1895) (pour ceux la qui veulent flinguer à l'age de 19 ans ) il s'engage dans la Légion étrangère française pour participer à la Première Guerre mondiale. Le 13 juillet 1915, il rejoint le deuxième régiment de marche du 1er RE puis le 170e régiment d'infanterie française surnommé plus tard les « hirondelles noires de la mort ». Il participe aux combats sur la Somme, en Champagne et à Verdun où il est grièvement blessé à la cuisse le 5 mars 1916.
En convalescence à Lyon, protégé par la famille Nesme, il est cité à l’ordre du régiment le 3 juillet 1917, et se voit décerner la croix de guerre.
Bullard, déclaré inapte pour l'infanterie, mais désireux de continuer à se battre, est admis le 2 octobre 1917 dans l'aéronautique militaire française par le lieutenant-colonel Adolphe Girod, responsable des écoles de l'aviation.
Après un stage de mitrailleur à Cazaux, il obtient d'être nommé élève-pilote. Il est formé sur Caudron G.3 et Caudron G.4 aux écoles de Dijon, Tours, Châteauroux et Avord.
J'apprends à piloter
Il effectue une vingtaine de missions aériennes et devient ainsi, avec le Turc Ahmet Ali Celikten, l'un des deux premiers pilotes de chasse noirs de l'Histoire. Il vole avec sa mascotte, son singe Jimmy. (accompagné de mon fusil et d'un ouistiti ) Il réussit à abattre deux appareils ennemis.
La devise inscrite sur le fuselage de son avion était all blood runs red (« tout sang coule rouge »).
(la suite au prochain post restez branchés )