Le pêcheur a écrit:Putain, la façon que j'soutiens à fond le séparatisme flammand maintenant![]()
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En même temps que c'est pas beaucoup mieux dans le nord de la France pute négro

Edition : ok ok merci mon Tony, j'vais prendre mes renseignements
Le pêcheur a écrit:Putain, la façon que j'soutiens à fond le séparatisme flammand maintenant![]()
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jacquot martin a écrit:Salutations à tous mes croyants qui pensent avoir la vérité.( et les chrétiens en premiers)
Bon, les docs à jean paul lepers en générale, c'est tout bon.
accidenteurdebentley a écrit:jacquot martin a écrit:Salutations à tous mes croyants qui pensent avoir la vérité.( et les chrétiens en premiers)
Bon, les docs à jean paul lepers en générale, c'est tout bon.
Ton vidéo déjà
Ce lundi à 22h30, Stéphane Haumant présentera sur Canal+ un nouveau numéro de "Spécial Investigation" et nous proposera "Pink Panthers : les braqueurs du siècle", un document de Vanina Kanban pour TV Presse.
C’est le gang le plus insaisissable de la planète, la première bande de braqueurs véritablement mondialisée. Dubaï, Genève, Londres, Tokyo, Paris, Monaco, partout où l’argent coule à flots, ils dévalisent les bijouteries de luxe les plus prestigieuses. La police les a surnommés « Pink Panthers », en référence à un film culte des années 70. Leur méthode est simple : ils entrent comme des clients classiques, à visages découverts, puis ils vident les présentoirs en moins de deux minutes. Puissamment armés, ils sont d’un sang froid quasi militaire et ne tirent jamais. Ces « pros du casse » d’un nouveau genre impressionnent les enquêteurs par leur maîtrise et leur efficacité : 130 joailleries en 10 ans et 110 millions d’euros de butin, un « palmarès » inégalé à ce jour dans le monde de la criminalité. Les « Pink Panthers » n’ont jamais donné d’interviews. Recherchés par les polices du monde entier, ils se cachent dans leurs pays d’origine, la Serbie et le Montenegro, en ex-Yougoslavie.
Pour Spécial Investigation, Vanina Kanban a enquêté cinq mois sur place, afin de remonter leur trace. Pour la première fois, plusieurs membres des « Pink Panthers » ont accepté de s’exprimer devant une caméra. Ils racontent leur parcours, leurs méthodes, les raisons qui les ont poussés à se lancer dans ces braquages spectaculaires et pourquoi, selon eux, la police ne parviendra jamais à démanteler leur gang.
En 2010, The Pink Panthers ont a leur palmarès plus de 110 braquages. Plus les braquages paraissent impossibles et irréalisables, plus ses membres sont attirés par leur réalisation, car le gain est aussi plus important. Leurs braquages les plus connus sont :
* Saint-Tropez, août 2005 : Les panthères roses braquent en plein jour la bijouterie Julian, arborant des tee-shirts fleuris au milieu des touristes. Quatre d'entre eux prennent la fuite en hors-bord.
* Londres, quartier de Mayfair, juillet 2007 : Les Pink Panthers reviennent à Londres. Pour accomplir leurs forfaits, ils utilisent une Bentley dernier cri, le visage grimé avec des chapeaux Panama. Ils dévalisent pour 10 millions £ de marchandises en moins de trois minutes.
* Paris, bijoutier Harry Winston, décembre 2008 : Quatre membres des Pink Panthers deguisés en femmeont dévalisé le bijoutier Harry Winston à Paris sans aucune violence. Le gang a mis la main sur 150 millions d'euros de marchandises. C'est l'un des plus gros casse de bijoux jamais perpétrés.
Bristal a écrit:Le genre de documentaire que j'étais pas prêt .
Soldat du Roi a écrit:putain de merde, le reportage d'arte là, la cité du mâle![]()
http://videos.arte.tv/fr/videos/la_cite ... 54740.html
dédicace à ce sino-sioniste de centre troll
OUHH OUUUUUUUUUUHHHH
toi même tu sais la famille
De mai à juillet 2003, Raymond Depardon et son équipe ont obtenu l'autorisation exceptionnelle de filmer le déroulement des audiences de la 10e chamber correctionnelle de Paris;Dix ans après DÉLITS FLAGRANTS, Raymond Depardon poursuit sa demarche en nous proposant ce nouveau documentaire citoyen, témoignage inédit sur le fonctionnement de la machine judiciaire.De la simple convocation pour conduite en état d'ivresse aux déférés de la nuit,10e chambre nous plonge dans le quotidien d'un tribunal: douze affaires, douze histoires d'hommes et de femmes qui se sont, un jour, retrouvés face à la justice.
Proposé en 6 épisodes d’une dizaine de minutes chacun environ, ce trip est filmé dans une haute définition nocturne assez hypnotique, avec une photographie signée Edward A. Roberts, quelque part entre le Michael Mann de Collateral et le générique de How To Make it in America. New York Minute plonge dans les cinq boroughs de Big Apple à la rencontre de rappeurs pas du genre à entrer dans la playlist de Skyrock.
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