George double-vé Bush
George Walker Bush, né le 6 juillet 1946, fils de George Herbert Walker Bush, président des Etats-Unis de 1989 à 1993, est le 43e président des États-Unis, en fonction du 20 janvier 2001 au 20 janvier 2009.
Membre du Parti républicain, élu deux fois gouverneur de l’État du Texas (entre 1994 et 1998 puis entre 1998 et 2000), date à laquelle il abandonne son poste de gouverneur à la suite de sa victoire fortement discutée à l'élection présidentielle. Il est élu président pour un second mandat le 2 novembre 2004.
Ses présidences sont marquées par les attentats terroristes du 11 septembre 2001, par la politique internationale dite de « guerre contre le terrorisme », par les guerres en Afghanistan et en Irak, par l'adoption par le Congrès des États-Unis du Patriot Act et la création du département de la sécurité intérieure, puis par la crise des subprimes et le plan Paulson mis en place pour faire face à la crise financière de 2008 à la fin de son mandat.
George Bush est le prototype même du gangster, ceci serait dû à son style, son genre et à sa manière de transiger.
Lors d'une entrevue le Roi a déclaré: “j'en ai rien à foutre de George Bush, de c'démon”. Il pense qu'il est perdu mais que lui-même ne le sait pas, qu'il a certainement un bon cœur mais qu'il fait quand même le mal qu'il fait. L'explication serait apparemment d'origine extraterrestre.
Pour le Roi Heenok, la “mise en marché” de George Bush est exemplaire, et c'est surtout cette particularité que le Roi apprécie chez le personnage. Mais le Roi garde un oeil averti : “Toujours des cassettes d'Al Jazeera qui sortent à la dernière minute, imagine toi j'aurais ce style de mise en marché”. Avec ces quelques mots clés, le Roi Heenok éduque les jeunes lapereaux sur la politique de peur qu'a instauré Bush et qui lui a permis d'être réélu. Non sans ironie, le Roi s'imagine pour quelques instants ce qu'il pourrait faire si il avait les mêmes pouvoirs médiatiques que George Bush.
Le sujet de la politique de peur de George Bush a été longuement traité dans le film Fahrenheit 9/11, un des films préférés du Roi, ce qui explique pourquoi ce dernier connaît si bien le sujet.
